Gabon: toute la vérité sur le litige foncier de MEKONANAM

Pour répondre à la politique du Chef de l’État de promouvoir les entreprises gabonaises, de permettre aux gabonais de se développer dans leurs affaires, et de pourvoir au besoin d’emploi du plus grand nombre, certaines entreprises se sont lancées dans le domaine de l’immobilier, après avoir obtenu de l’Etat, de façon régulière, leurs titres fonciers.
Force est de constater, pour le regretter, que des conflits, des litiges, des contentieux naissent ou sont créés par des tiers pour entraver et bloquer le développement de ces entreprises volontaires du progrès. C’est une chose que de vouloir gérer les mises en valeur, les concessions d’aménagement et c’est une autre que d’attaquer les promoteurs immobiliers qui sont propriétaires de leur titre foncier et qui ont leur projet à développer pour le bien de la population gabonaise, pour le quota que le Ministère de l’Habitat devrait pouvoir présenter comme résultat avec leur concours.

Contre toute attente, aujourd’hui, cette situation est plus que conflictuelle non seulement avec l’Etat, le régulateur, mais aussi avec les populations et des SCI sans scrupule, qui vendent à outrance des terrains d’autrui au détriment de leurs clients, sans aucune couverture juridique. Ce qui de facto, génère des contentieux que l’Etat, à travers ses démembrements, n’arrive pas à réglementer. C’est là le nœud du problème.

Le cas d’espèce de la SARL GIMBTP.

GIMBTP a obtenu son foncier depuis 2015. De 2015 à 2020, GIMBTP s’est gardée de laisser l’anarchie se développer sur son terrain, à le protéger et à empêcher toute squattérisassions ; à l’exception de toutes les personnes qui y étaient déjà installées, considérées comme intégrées. Ces personnes intégrées ne sont pas au-devant de la scène pour revendiquer quoi que ce soit. Il s’agit selon GIMBTP d’une dizaine de famille.


GIMBTP, sachant son terrain encore vierge de toute occupation dont une simple visite sur place permet de le vérifier, s’insurge contre les allégations mensongères visant à nuire à son image en prétextant qu’elle serait en train d’expulser et détruire les constructions invisibles et imaginaires de 400 voire 600 familles installées.

Nous savons d’ores et déjà que deux SCI sont impliquées dans ce litige qui perdure à ce jour.

Depuis 2015, GIMBTP a obtenu tous ses procès face aux spéculateurs fonciers que sont la SCI NTOUM IMMO et CITE MAWA, représentées respectivement par sieurs NFENE BIYOGHE Judex pour la première et ASSOUME EKOUAGUE Christian, pour la seconde ( voir les décisions de justice en annexe), qui aujourd’hui, avec leurs associés et complices, se cachent derrière les prétendus 400 à 600 familles revendicatrices pour nuire à la jouissance de son bien.

Le pot aux roses.

La vérité est comme une lumière. Elle finit toujours par éclairer et les ténèbres disparaissent. Il convient de révéler que les deux entités précitées ont bel et vendu et encaissé l’argent des personnes revendicatrices pour des terrains appartenant à GIMBTP alors que cette dernière était en procès avec l’Etat ; procès qu’elle a d’ailleurs gagné.
Les parcelles occupées à la hâte depuis 2020 par les squatters, sont la propriété inviolable de GIMBTP.

Aujourd’hui, bloqués et incapables de livrer physiquement d’autres terrains aux personnes victimes de leur crime d’escroquerie, ces deux SCI et associés se sont malicieusement alliés à leurs « clients victimes, devenus collectif de défense » pour braver la Loi et le Droit, pour affirmer leurs rebellions face aux décisions de justice et attaquer malheureusement le propriétaire légal.

C’est pourquoi, GIMBTP se bat aujourd’hui à faire respecter ses Droits, à pouvoir jouir de son bien et à démontrer que son terrain n’est pas occupé par 400 familles tel qu’il est dit mais que son terrain est la cible de spéculateurs fonciers et de clients véreux qui pensent pouvoir en toute impunité, comme c’est la pratique face à l’Etat gabonais, s’y installer pour empêcher le développement du projet de cette entreprise. Force reste à la loi.

A LA LUMIERE DE CE QUI PRECEDE, DES INTERROGATIONS SIMPOSENT :

  • Ou allons-nous dans la réglementation foncière au Gabon?
  • Dans cet état de faits, quelle assurance le Gabon donne aux investisseurs qui observent et vivent ces litiges sans que la protection de l’état gabonais n’est été appliquée et respectée ;
  • Quelle valeur le Gabon donne au Titre de Propriété aujourd’hui ?
  • Comment l’état gabonais compte t’il gérer les litiges persistants du foncier au Gabon, face aux populations flouées qui finissent par poser des actes juridiquement répréhensibles PAR MANQUE D4INFORMATIONS JUSTE SUR LA LOI FONCIERE APPLICABLE?

ET CE SERA JUSTICE