Éducation : Le Prophète Béni Ngoua Mbina engagé dans la lutte contre l’apprentissage de l’homosexualité à l’école

 » Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination « , Lévitiques18 : 22. C’est ce que nous rappelle le prophète Béni Ngoua Mbina suite aux ambitions des gays et lesbiennes gabonaises du Gabon, et du monde entier dont le nouveau combat, est précisément la visibilité de l’homosexualité à l’école.

L’homosexualité n’existe pour ainsi dire pas dans les écoles gabonaises. Ni dans les manuels scolaires, ni dans le discours, ni même parmi les professionnels qui l’animent, et le prophète Béni Ngoua Mbina souhaite que les choses demeurent ainsi.

Une affaire qui fait grand bruit au Gabon depuis que le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef), l’organisation des Nations unies pour l’Education, la Science et la Culture (Unesco) et le ministère de l’Éducation nationale gabonais via l’Institut pédagogique national (IPN) ont conçu un support pédagogique de 178 pages qui enseignera l’homosexualité à l’école.

De quoi soulever l’indignation de ceux qui estiment que le thème de l’homosexualité n’est pas la mission de l’école. A-t-on besoin d’enseigner l’homosexualité à l’école ? «Non, car les homosexuels d’aujourd’hui n’ont pas eu besoin d’apprendre ça à l’école», a tranché Béni Ngoua Mbina certain de ce que les homosexuels ont une «malédiction génétique».

« La parole de Dieu nous enseigne ceci dans Ephésien 5:11, et ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez les ! », a martelé l’homme de Dieu Ngoua Mbina.

Selon lui, l’homosexualité est une offense à la culture gabonaise et aux saintes écritures.

Le prophète assure qu’avec la promotion de l’homosexualité à l’école, l’objectif du gouvernement est de «faire de nos enfants des pédés et des lesbiennes» en plus de préparer le peuple gabonais à accepter le mariage homosexuel.

« On veut enseigner à nos enfants que la relation sexuelle peut se faire soit par l’introduction du pénis dans le vagin ou dans l’anus. Cette sexualisation de nos enfants est une pratique pédophile qui les exposent aux dangers de pratiques malsaines depuis le bas âge « , a-t-il appuyé.

Pour Béni Ngoua Mbina, le Gabon a des problèmes plus urgents sur lesquels il faut se focaliser au lieu de plancher sur la promotion de l’homosexualité «qui n’est pas un indice de développement».