Lancement de campagne pour MENDOME Amédée Cédric/ Candidat anti système aux législatives dans le 2ème arrondissement de Ntoum

Le 19 août en soirée avait lieu le lancement officiel de la campagne électorale de MENDOME Amédée Cédric, candidat aux législatives. Dans le deuxième arrondissement de la commune de Ntoum, devant plusieurs partisans et de bénévoles, le candidat de l’Union démocratique et républicaine (UDERE) a présenté sa position quant aux scrutins à venir.

« L’UDERE était avec le pouvoir. Malheureusement, pour des concours de circonstances nous nous sommes désolidarisés parce que nous allons aux élections législatives. Et comme vous le savez, les élections législatives aujourd’hui sont couplées.

Avec ce cris d’appel à nos frères d’arrondissement lors de ce lancement de campagne, à la plaine, Essassa et Nkok, j’espère que nous allons gagner cette bataille, aller à l’Assemblée nationale pour changer le mode de fonctionnement du deuxième arrondissement de la commune de Ntoum », a-t-il déclaré.

Tout en appelant à voter massivement pour sa liste, MENDOME Amédée Cédric, par le truchement de L’UDERE, se présente comme le « candidat anti système », parce que dit-il :  » Nous voulons passer aux actes, nous avons eu assez de discours. C’est l’heure de travailler. Et nous sommes là pour apporter des solutions aux jeunes dans le sens de l’emploi et la formation », a expliqué M. MENDOME.

L’homme politique pointe tout ce qui manque encore aujourd’hui et compte faire dans l’amélioration continue. M. MENDOME a prêté une oreille attentive aux préoccupations des chômeurs, femmes, hommes et étudiants.

Face aux attentes de tous, le candidat de L’UDERE entend donner des chances égales de succès à tous les gabonais de sa circonscription électorale. Par exemple aux chômeurs, il promet la création dld’emplois en cinq ans.

Il déplore le fait qu’il y ait tellement de jeunes dans la Zone Économique de Nkok et qu’il n’y ait pas au moins 500 jeunes gabonais qui travaillent dans ces entreprises. N’oublions pas que les conditions de travail qui sont faits dans lesdites entreprises font en sorte que les jeunes se découragent.

« Une fois à l’Assemblée, nous allons regarder ces lois pour mieux encadrer le travail des jeunes de mon arrondissement « , a-t-il assuré.