La question des bourses scolaires au Gabon prend une nouvelle tournure avec l’initiative du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) et de Camelia NTOUTOUME LECLECQ, fervente défenseure de l’éducation de qualité. Le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, manifeste une préoccupation particulière pour l’état de l’éducation au Gabon.
La vision s’articule autour de la création d’une école d’élite axée sur le savoir-faire, visant à rehausser l’image éducative du pays. Cette démarche s’inscrit dans une volonté d’élever le niveau de l’enseignement, favorisant ainsi la formation d’une jeunesse compétente et bien préparée pour les défis du monde moderne.
Face aux critiques récentes concernant les bourses scolaires, le gouvernement, par le biais du CTRI, explore de nouvelles voies pour promouvoir l’excellence académique. L’idée d’introduire une bourse scolaire au mérite se profile comme une réponse novatrice. L’objectif est d’encourager les élèves brillants à exceller tout en renforçant la compétitivité du système éducatif national.
Cette initiative s’inscrit dans la lignée des préoccupations du Président de la Transition, qui souhaite voir l’éducation gabonaise figurer parmi les meilleures. Le débat sur les bourses prend ainsi une dimension plus large, liée à la qualité globale de l’enseignement.
En valorisant l’excellence académique, le Gabon aspire à créer une génération de leaders et d’innovateurs. Camelia NTOUTOUME LECLECQ et le CTRI, en collaboration avec le gouvernement, ouvrent ainsi une nouvelle page dans le domaine éducatif, marquée par la quête de l’excellence et du savoir. La mise en œuvre de cette vision nécessitera des ajustements budgétaires et des efforts concertés pour concrétiser une éducation de qualité au Gabon.
le parlement qui a voté un budget restreint de 12 milliards au lieu de 17 milliards voulu par l’Education Nationale.
Du coup, le budget de 12 milliards ne peut pas couvrir les moyennes de 10/20 c’est pour cette raison que la commission tripartite interministérielle ( Éducation Nationale, Budget, Ministère de l’enseignement Supérieur et ANBG) a opté pour la mise en place de la moyenne de 12 au 1er cycle et 11/20 au 2nd cycle.
Ce n’est pas une décision de Madame la Ministre de l’éducation Nationale mais c’est le résultat de la réflexion de la commission tripartite. Le Gouvernement de la République a validé les travaux de la commission vu que les parlementaires ont réduit le budget initial prévu pour supporter les moyennes de 10/20.
