Création de Libreville 2 : Rencontre entre l’Ordre Gabonais des Architectes et le Général Brice Oligui Nguema

Le 1er novembre 2023, l’Ordre Gabonais des Architectes a tenu une réunion cruciale avec le chef d’État de transition, le Général Brice Oligui Nguema, pour discuter du projet de création de Libreville 2. Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre d’un ou deux mandats présidentiels pour la gestion de la transition, vise à étendre et moderniser la capitale gabonaise.

Le Général Oligui Nguema a clairement indiqué son intention de ne pas rester au pouvoir sur une longue durée, comme il l’a affirmé lors des consultations des forces vives de la nation. Il a souligné que ce projet est conçu pour être réalisé dans un laps de temps relativement court. Certains participants ont rapporté que lors des discussions, l’archevêque Jean-Baptiste Moulaka avait plaidé en faveur de la route de Pana, à quoi le Général a répondu que ses projets sont limités à un mandat, soulignant ainsi sa détermination à ne pas s’accrocher au pouvoir.

Jean Noël Ngokouba, Secrétaire général du Conseil Supérieur de l’Ordre des Architectes, a expliqué que le projet de Libreville 2 s’inscrit dans une série de projets d’envergure visant à développer les infrastructures du Gabon, y compris la création de nouvelles voies de contournement qui étendront la capitale jusqu’à Ayem, Ntoum, et au-delà.

Parmi ces projets, le General Oligui Nguema accorde une grande importance à la construction d’un nouvel aéroport international de Libreville, répondant aux normes internationales et mettant en valeur le talent des architectes nationaux.

Le Secrétaire Général de l’Ordre a précisé que le Général souhaite que ce projet avance rapidement, avec une zone de localisation prévue à l’est de Libreville, à la sortie de la ville.

Le président de la Transition accorde aux architectes un délai de deux ans maximum pour la réalisation de ces projets. La question de savoir si ce délai est réaliste demeure ouverte, et suscite un débat au sein de la société civile gabonaise. Marc Ona Essangui, un représentant de la société civile, a exprimé des réserves quant à la durée de la transition, demandant une période plus courte de six mois à un an seulement.

Le projet de Libreville 2 et les autres initiatives d’envergure conçues pour moderniser le Gabon semblent susciter un intérêt considérable, mais la question de la durée de la transition reste un sujet de discussion important au sein de la nation gabonaise. La réalisation de ces projets et leur impact sur l’avenir du pays continueront à être suivis de près.

Le Général Oligui Nguema a clairement indiqué son intention de ne pas rester au pouvoir sur une longue durée, comme il l’a affirmé lors des consultations des forces vives de la nation. Il a souligné que ce projet est conçu pour être réalisé dans un laps de temps relativement court. Certains participants ont rapporté que lors des discussions, l’archevêque Jean-Baptiste Moulaka avait plaidé en faveur de la route de Pana, à quoi le Général a répondu que ses projets sont limités à un mandat, soulignant ainsi sa détermination à ne pas s’accrocher au pouvoir.

Jean Noël Ngokouba, Secrétaire général du Conseil Supérieur de l’Ordre des Architectes, a expliqué que le projet de Libreville 2 s’inscrit dans une série de projets d’envergure visant à développer les infrastructures du Gabon, y compris la création de nouvelles voies de contournement qui étendront la capitale jusqu’à Ayem, Ntoum, et au-delà.

Parmi ces projets, le General Oligui Nguema accorde une grande importance à la construction d’un nouvel aéroport international de Libreville, répondant aux normes internationales et mettant en valeur le talent des architectes nationaux.

Le Secrétaire Général de l’Ordre a précisé que le Général souhaite que ce projet avance rapidement, avec une zone de localisation prévue à l’est de Libreville, à la sortie de la ville.

Le président de la Transition accorde aux architectes un délai de deux ans maximum pour la réalisation de ces projets. La question de savoir si ce délai est réaliste demeure ouverte, et suscite un débat au sein de la société civile gabonaise. Marc Ona Essangui, un représentant de la société civile, a exprimé des réserves quant à la durée de la transition, demandant une période plus courte de six mois à un an seulement.

Le projet de Libreville 2 et les autres initiatives d’envergure conçues pour moderniser le Gabon semblent susciter un intérêt considérable, mais la question de la durée de la transition reste un sujet de discussion important au sein de la nation gabonaise. La réalisation de ces projets et leur impact sur l’avenir du pays continueront à être suivis de près.