Janvier 2024 à Owendo.
Ainsi en ont décidé l’ensemble des enseignants bénévoles qui depuis plusieurs années dispensent gracieusement dans des établissements scolaires de la circonscription sud de Libreville.
Réellement dit, ces vaillants éducateurs du Gabon sans statut particulier ont été convoqué ce matin à une importante réunion à la direction académique provinciale (DAP).
Par exemple, à l’école publique d’Akournam2 B, ce sont aussi moins plus d’une dizaine d’instituteurs bénévoles qui ont été titularisé dans les salles de classe faute de chef de cours fonctionnaires affectés par le Ministère de l’éducation nationale.
En effet, sur les dix sept (17) salles pédagogiques que compte l’école publique d’Akournam2 B nouvellement inaugurée il y a deux ans, quatorze (14) sont entre les mains des enseignants bénévoles au vu et au su de madame le chef de circonscription scolaire Sud, l’inoxydable Ndombi.
Selon nos sources, elle aurait même ordonné à Madame la directrice de l’EPA2B de ne retenir que huit (8) susceptible d’être enrôlés officiellement.
Conte toute attente et au moment où le recrutement directe est rendu possible par l’attribution de 1000 postes budgétaires par le chef de l’État le général Brice Clotaire Oligui Nguema , de nombreux institutrices bénévoles qui ont sacrifié leur temps à la craie gracieusement, voient actuellement leurs dossiers recalés arbitrairement par le Ministre de l’éducation nationale.
Les écoles publiques de Mindoubé, d’Igoumié, de la SNI 1, ou même du quartier Awoungou sont concernées par cette terrible situation orchestrée par Madame Camélia Ntoutoume Leclerc.
La raison erronée, évoquée est que les instituteurs bénévoles issus des écoles du programme internationale du secteur Éducation ( PISE).
Questions: » Pourquoi avoir exploité longuement ces gabonais depuis plusieurs années et refuser catégoriquement de les embaucher aujourd’hui alors qu’ils deja fait leur preuve et plusieurs affichent le satisfecit de la circonscription scolaire sud de Libreville ? En octroyant 1000 postes budgétaires au secteur de l’éducation nationale, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema aurait il souhaité que Madame Camélia Ntoutoume Leclerc marginalise certains gabonais au détriment des autres? »
Voilà qui donne raison à une certaine opinion qui pense que le parti démocratique Gabonais ne devrait plus être associé à la restauration des institutions qui est actuellement en cours car leurs méthodes bancales et dictatoriales vont toujours surgir comme c’est le cas actuellement.
Tout porte à croire que Le Ministre de l’éducation nationale accusé des tares et se cache derrière ses nombreuses carences si non l’idéal aurait été mieux de ne pas ouvrir des salles de classe puisqu’il n’y pas d’enseignants disponibles.
Voici des méthodes exclusionnistes entretenues par l’ancien régime Bongo PDG que le Comité de Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) est venue bannir en réalisant le coup de Libération du 30 Août et dont Camélia Ntoutoume Leclerc souhaite perpétuer au mépris de la parole du Président de la Transition.
Sommes nous encore à l’époque où un membre du gouvernement pouvait galvauder la volonté du Président de la République?
Laisser propserer une telle forfaiture est d’installer dans la conscience collective des gabonais qu’on n’est pas sorti de l’auberge.