Florentin Moussavou, un politique intègre et loyal

Le CTRI vient de mettre en place les deux chambres, avec à l’arrivée une pluie de nominations de plusieurs personnalités politiques et de la société civile. Pour le CTRI, ces nominations ont obéi à critérium spécial en vue d’accompagner la perspective de refondation des institutions et le développement du pays. Florentin Moussavou compte parmi les heureux élus, grâce à sa personnalité et visiblement son intégrité morale légendaire qui font de lui, homme hors pair de son temps et de son époque.

Pour les analystes de la presse nationale et internationale, le choix porté en la personne de Florentin Moussavou comme 3e vice président de l’Assemblée Nationale de Transition, est d’abord un choix de la personnalité. Une personnalité disposant en effet, du profil idéal pour accompagner le CTRI dans son processus de transformation du Gabon.

Cette promesse faite aux gabonais, devrait se construire autour des personnes d’expérience reconnues pour leurs compétences. Florentin Moussavou, président de CAC incarne cela. On se souvient encore de son passage au sein du gouvernement comme ministre de l’Education Nationale, ou de sa participation active lors des différentes concertations politiques dans le pays où son rôle et ses convictions républicaines basées sur le patriotisme, ont toujours permis d’aplanir les angles et les positions des uns et des autres pour arriver au consensus. C’est de surcroît une personnalité consensuelle, dont la voix a toujours compté.

On dit de lui également, être une personnalité politique hors paire disposant de multiples aptitudes dans la conduite des affaires. C’est par ailleurs, un pédagogue qui a toujours su donner de la mesure partout où il a été amené à intervenir.

Et c’est avec des hommes comme lui, intègres et loyaux que le CTRI veut s’appuyer pour conduire la réforme des institutions gabonaises pour l’avènement d’une grande République.

Pour le CTRI, les récentes nominations au Parlement et au Sénat concernent surtout des hommes et des femmes disposant d’une probité morale et d’un engagement citoyen reconnu de tous.

Car lorsqu’on regarde la composition de ces deux chambres, on comprend bien que ce n’est le fait d’appartenance à un parti politique ou à la majorité sortante qui ont prédominé. Mais le Président de la Transition, a fait ses choix en fonction de la représentativité de chaque personnalité.