Suite au rejet non justifié selon lui de sa candidature à l’élection présidentielle du 26 août prochain, le président du Centre des libéraux réformateurs (CLR) a tenu à dénoncer les agissements du centre gabonais des élections (CGE) à son égard et nous informe qu’il saisira la justice vis-à-vis de ceux qui sont à l’origine de ce rejet.

Preuve à la main, le général à la retraite, Jean Boniface Assele Dabany estime que le motif du rejet de sa candidature qui est celui d’appartenir à la Majorité républicaine et sociale pour l’émergence (MRSE), constitue nullement un critère d’inéligibilité ou d’incompatibilité pour rejeter sa candidature, car depuis le 26 juin 2023 le CLR ne faisait plus partie de cette majorité.
Compte tenu de l’application de l’article 20 de la charte du dit regroupement qui stipule que la qualité de membre se perd par démission écrite.

Continuant dans cet élan ; le leader du centre des libéraux réformateurs a ajouté mots pour mots << Si l’on considère la majorité comme un regroupement légal de partis politiques, le candidat de la majorité est celui investi par la majorité de ses membres et non pas un seul » fin de citation en concluant pour sa par que le PDG ayant choisi leur candidat pourtant ne représentant pas la Majorité et de surcroît ne respectant pas l’article 20 et 66 de la charte << la candidature d’Ali n’est pas valable >>
Mayombo Rodin Terence Jordan