S’organisant du 08 au 10 décembre 2022, la 2e édition des Journées Caposiennes est allée à la rencontre du milieu Siéducatif gabonais, afin de sensibiliser la jeunesse sur les violences scolaires. Un phénomène notamment engendré par le fait de l’exclusion et la consommation des drogues en milieu scolaire.
Les anciens de Capo, porteurs du projet de réseautage » Les Journées Caposiennes », se sont voulus cette année très proches de leurs jeunes petits frères, en choisissant d’aborder la problématique sur les violences scolaires, un sujet qui a alimenté la chronique républicaine au cours de ces dernières semaines et qui retient à l’avenir toute l’attention des plus hautes autorités du pays.
C’est dire que cette 2e édition des Journées Caposiennes s’est entourée d’une démarche de pédagogie, pour mettre en relief les valeurs éducatives issues du milieu familial qui doivent se conjuguer aux valeurs sociales du milieu scolaire.
« :Les élèves doivent se mettre en tête, que les violences ne sont pas la clé de la réussite », a confié Pierre Boukila Bounzanga, employé de banque et Secrétaire Général des Journées Caposiennesses dont la réussite peut également servir de modèle aux plus jeunes.
Pour ce dernier, les élèves plutôt que de se laisser aller aux violences, ils ont intérêt à se concentrer sur leur objectif annuel qui est l’obtention de leur baccalauréat.
De même que les anciens de Capo ont profité de cette rencontre avec les élèves du lycée technique, pour prévenir sur le fait de l’exclusion et de la consommation des drogues en milieu scolaire qui sont des facteurs aggravants de la violence scolaire.
L’autre idée était d’amener les plus jeunes, à vivre loin de tout complexe qui peut aussi être un élément amplificateur de la violence en milieu scolaire.
Cette deuxième édition des Journées Caposiennes a pour ainsi, permis cette année de véhiculer certaines valeurs éducatives qui fondent la réussite scolaire, professionnelle et sociale. Ils appartiendra aux jeunes élèves du lycée technique de s’en servir pour se donner plus de chance de réussite en fin d’année lors leur examen final. Le BAC.