A quelques encablures de la journée mondiale du sida, l’Onusida et la Direction Générale de lutte contre le sida, sont allés à la la rencontre des communicateurs (journalistes). Le point. Les hommes et les femmes des médias, selon le Dr Françoise NDAYISHIMIYE.
Directeur pays Onusida, » les communicateurs peuvent permettre de changer la donne notamment en matière de prévention et prise en charge ».
Il s’agissait donc a travers cette formation. d’amener les journalistes à délivrer la bonne information, au lieu de s’auto- satisfaire en Fake news Cette formation au profit des communicateurs, a par ailleurs permis de comprendre que plusieurs pays dans le monde, avaient gagner en organisation au point de déjouer les pronostics de l’OMS qui avait annoncé mettre fin au sida d’ici 2030. C’est- à dire que cette pandémie ne sera plus une menace pour les hommes.
Selon le Dr Françoise NDAYISHIMIYE, cela passe par une élimination des inégalités, en terme d’accès aux soins ou à l’investissement (etc) Le cas du Gabon par exemple, le traitement est gratuit.
Cependant, pour accéder à ce traitement, il faut aller voir un.medecin. Même si l’on peut faire constater que deux examens parmi lesquelles la charge virale, ne sont pas encore pris en compte par la CNAMGS. L’année dernière par exemple, environ 24000 personnes étaient sous traitement au Gabon dont 9000 ont eu accès à la charge virale.
On comprend bien toute la sensibilité des chiffres dans ce domaine, à suffisance pour souhaiter voir régulier un atelier d’échange et d’information.
Judex manfoumbi